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Anatole Boudin
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10 mars 2015

Le présent du subjectif à l'Académie Française

L'Académie Française se penche enfin sur un ajout à la conjugaison proposé en 1910 par Anatole Boudin : le présent du subjectif. Cette conjugaison marque l'insistance et la forme d'un verbe. Ainsi au lieu de dire "il faut que tu viennes", il est préférable de dire "il faut viendre". L'imparfait du subjectif (à ne pas confondre avec l'imparfait du subjonctif) ne peut exister car le verbe au subjectif marque l'instant présent et ne peut donc pas être relégué au passé.

Cette conjugaison qui brille par sa pertinence et sa simplicité possède deux avantages. Le verbe est invariable (Je viendre, tu viendre, il viendre, nous viendre, vous viendre, ils viendre). Seul les verbes du 2ème et certains mais rares du 3ème groupe mutent (il faut bien compliquer un peu autrement ce ne serait plus la langue française) : exemple, le verbe tenir devient "tiendre". Plus la peine de s'embêter avec les fins de verbe conjugué.

Les verbe du 1er groupe ne mutent pas, ex : chanter. (Il faut que je chante, tu chante, il chante, nous chante, vous chante, ils chante).

Simple non ?

Rendons à nouveau grâce au génie du coulommiers car comme il le disait si bien, "La clarté naît de la lumière de ma pensée".

Académie française

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Anatole Boudin
  • Site dédié à la mémoire d'Anatole Boudin 1843-1914, créateur du Coulommiers et bienfaiteur méconnu du fromager. Poète, homme politique fondateur de la Penséïtude. Né à Coulommiers et mort à Saint-Nazaire.
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