Anatole boudin, alors député (voir archivehttp://anatoleboudin.canalblog.com/archives/2013/09/09/27985707.html), avait lancé le la Penséïtude, mouvement politique afin d'accéder au pouvoir. Le comité actuel pense qu’il est grand temps de ranimer la flamme de ce mouvement politique. En effet, on peut résumer ce mouvement ainsi : « s’il n’y avait pas le socialisme, il n’y aurait pas de gens de droite et réciproquement. S’il n’y avait pas le Béarn, il n’y aurait pas de sauce ».

L’objectif de ses partisans est de mieux servir la France à l'aide de cette philosophie qui a d’ailleurs été à maintes fois utilisée par les candidats à la présidentielle. Exemples typiques :

- "Vous n’avez pas le monopole du cœur" (Valérie Giscard d’Estaing)

- "Vous avez raison, Monsieur le 1^er ministre" (François Mitterrand)

- "Calmez-vous, Madame Royal"(Nicolas Sarkozy)

- "Moi, président de la République, je serai normal" (François Hollande)

En revanche, voici des exemples qui ne sont pas du tout compatibles avec la penséïtude :

- T’es qu’une merde (Nathalie Kosciusko-Morizet)

- Va y avoir du sang sur les murs (Jean-François Copé)

- Glandu de première (Jean-Luc Mélanchon)

- Casse-toi pauvre con (Nicolas Sarkozy)

Le comble de l’élégance de la Penseïtude revient incontestablement à Jacques Chirac : 1^er prix.

En effet, pendant un bain de foule, un homme crie “Connard !” à son encontre. Celui-ci, ne perdant pas son sang-froid, lui répond : “Enchanté, moi c’est Chirac.”

Le deuxième prix, catégorie étrangère revient à Winston Churchill :

Le dramaturge George Bernard Shaw lui avait envoyé un télégramme pour la première d'une de ses pièces : " Vous ai réservé deux places pour la première. Amenez un ami, si vous en avez un. "

Réplique télégraphique du 1^er ministre : " Présence impossible pour la première. Viendrai à la deuxième, s'il y en a une. "

Gloire aux militants de la Penséïtude.

Anatole Boudin, Créateur de la penséïtude

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